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Home Dossier Opinions

Jean Paul Pougala : « C’était mieux avant ? Non, certainement pas ! »

by Paul Shamkwa
1 octobre 2018
in Opinions, Présidentielle Cameroun 2018
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En géostratège, vous devez aller plus loin et vous rendre compte que pendant 20 ans, de 1962 à 1982, le chef de l’exécutif, c’est à dire le premier ministre qui était chargé de créer toutes ces opportunités de formation des futurs dirigeants n’était rien d’autre qu’un certain Paul Biya.

Une fois devenu président, hors mis son laxisme légendaire de souvent donner l’impression qu’il ne sait même pas si c’est lui le président de ce pays, on peut tout de même objectivement lui donner raison sur plusieurs points de son bilan et dire avec satisfaction que ce n’était pas mieux avant, tout au moins pas sur le plan scolaire.

Et contrairement à ceux qui accusent Paul Biya d’avoir détruit les fleurons que Ahidjo avait créés comme Sodeble, Cellucam, Cameroon Airlines, Sonel, Regifercam, Cimencam etc; moi j’accuse Paul Biya d’avoir contribué avec Amadou Ahijo à créer des entreprises avec de l’argent que nous n’avions pas. Il est évident que ces prédateurs qui nous ont suggéré de cultiver le café et le cacao pour leur rembourser une telle dette savaient depuis le debut que cela n’aurait jamais été suffisant. Je me demande comment Ahidjo et Biya ont-ils pu être si naïfs de croire que nos prédateurs allaient nous prêter de l’argent pour construire des entreprises devant servir à leur résister.

Le faisant, ces 2 là ont ainsi contribué à endetté nous et nos enfants, car dès l’origine, c’était des projets mal fiscelés, sans financement propres. Et je reste convaincu que si un projet ne contient pas de façon autonome son propre financement, ce n’est pas un projet viable à long terme. Ils ont oublié que nous étions en guerre et que dans le cas de l’industrie, personne ne dit la vérité. Le bleuff et l’esprit de prédation sont les maîtres mots. Nous étions depuis le départ, la petite souris qui voulait jouer dans la cour des lions, des rapaces. Ils auraient dû lire Sun Tzu qu’ils n’auraient pas commis ce genre d’erreur de débutants en Géostratégie.

A quoi servait une compagnie aérienne publique pour laquelle des avions d’occasion étaient achetés à crédit et qui comptait pour remplir ses caisses, des récettes sur le trajet Douala-Paris, alors que la France qui nous avait prêté l’argent pour cette initiative y avait déjà 2 compagnies : UTA et Air France ?

Je peux prendre comme cela individuellement chacune de ces compagnies que certains noltagiques du dimanche pleurent pour leur privatisation en pointant les erreurs de gestion alors qu’on s’est juste planté à cause de notre manque de prise de conscience du fait qu’on était bel et bien en guerre, même si économique.

Le pire est que c’est toujours la même navigation à vue encore aujourd’hui sur bien de sujets pourtant sérieux. Et celui qui pointe l’erreur de gestion montre que lui-même aurait commis la même bêtise, puisque 40 ans après, il n’a toujours rien compris de ce qui s’est réellement passé.

Pour revenir à l’accusation de départ, non, il n’existe pas de BELLE EPOQUE, le tout est de savoir ouvrir les yeux pour constater qu’on est assis sur d’innombrables opportunités qu’on ignore.

En regardant cette même situation que je dis pleine d’opportunités, si je suis un pessimiste, au lieu de présenter cette information sous cet angle positif, je pourrais alors oublier de constater que le Biya premier ministre, une fois devenu président a tout simplement généralisé les lycées, pas seulement techniques partout au Cameroun et aujourd’hui, un enfant n’a plus besoin de parcourir tout le Cameroun pour prendre des cours de mécanique ou de commerce à l’autre bout du pays, comme c’était le cas à mon temps.

A l’époque, pour passer du CM2 à Kekem en 6ème, il fallait aller passer un concours départemental à Bafang où on ne prenait que les meilleurs venus de tous le département du Haut Nkam, puisqu’il n’y avait qu’un seul collège publique pour les pauvres comme nous. Et nous partions de tous les villages environnants pour ce concours où on ne prenait que les 3 premiers de chaque village. Et le reste de place revenait aux enfants de Bafang.

Aujourd’hui, ma douleur est de penser à tous ces autres enfants très braves qui ont fréquenté avec moi les nombreuses écoles primaires de Kekem et qui n’ont pas pu figurer sur cette liste de 3 places et qui sont devenus de parfaits analphabètes. Et comme pour passer du collège au Lycée, il fallait passer un autre concours cette fois ci, provincial, il fallait aller au chef lieu de région, à Bafoussam.

Pour passer de Bafang au Lycée technique de Douala Koumassi, il fallait un concours National où on ne prenait que les 3 meilleurs par département. J’ai passé le concours et mon nom figurait sur cette courte liste de 3 noms pour tout le Haut Nkam. Mais combien de mes camarades n’ont pas eu la même chance et ont vu leurs études s’arrêter net en classe de 3ème ?

Pire, durant tout mon cycle primaire, j’ai accompagné chaque année depuis la SIL, un camarade de classe au cimetière. Mort de malaria, oui de simple malaria. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

La vulgarisation des hôpitaux et des dispensaires à presque tous les coins du pays a drastiquement réduit le taux de mortalité infantile.

Non, ce n’était pas la belle époque avant. c’était une époque de la vie d’un pays qui sortait à peine de la violence coloniale où rien n’avait été fait pour les citoyens et que les nationaux se battaient pour le mettre en marche. Et même si je critique Ahidjo et Biya, je n’insiste pas trop sur ce bouton, parce qu’en même temps, je suis conscient que j’ai cette capacité de critiquer ce qu’ils ne pouvaient pas savoir à l’époque, parce que j’ai évolué parmi les industriels italiens pendant longtemps pour comprendre certaines vérités très cachées encore aujourd’hui.

Il est à mon avis ingrat de commencer à les juger entre bon et mauvais, vus les résultats que je trouve très positifs à ce jour, comparés à la galère de la sortie de l’ère coloniale sans école, sans collège, sans université, sans hôpitaux.

En Afrique, il faudra plutôt avoir le courage de toucher un point très impopulaire, mais essentiel à être affronté, c’est celui d’amener les gens à ne pas faire des enfants n’importe comment.

Non, les enfants ne sont pas un don de dieu, ils sont le fruit d’un engagement qui se transforme en devoir individuel et non collectif.

Des 3 millions d’habitants que nous étions sous le président Ahidjo, nous sommes passé en 50 ans à 25 millions de Camerounais, sans que la création de richesses suive le même rythme de croissance esponentielle de la population, pour absorber tout le monde. Le nombre de bouches à nourrir a augmenté sans que la quantité de nourriture à distribuer augmente d’égale mesure.

On constate la même tendance dans les autres pays africains, comme le Nigeria qui a 6 millions de nouveaux nés chaque année, une véritable bombe à retardement, si rien n’est fait.

C’est bien de dire que l’Afrique c’est 1 milliard d’habitants et demain 2 milliards, mais à quoi cela servira-t-il d’être 2 milliards de mendiants à la risée du monde ? C’est la plus grande faiblesse de l’Inde aujourd’hui, qui se rend bien compte qu’elle va dépasser la Chine en population, sans compter autant que la Chine sur le plan international, car ce sera des milliards d’indiens analphabètes et complètement dépourvus où l’état n’a pas les moyens de garantir à chaque citoyen un toit.

Non, ce n’était pas mieux avant, c’est de loin mieux aujourd’hui. Mais ce mieux risque de se transformer en cauchemar si la responsabilisation de la masse populaire à investir sur les enfants et non sur une belle voiture ou sur des fringues n’est pas à l’ordre du jour.

Le banditisme et la criminalité avancée des enfants de parents africains dans les banlieues des villes européennes risque d’être bientôt la normalité dans les cités d’Afrique.

Vouloir à chaque fois tout mettre sur le dos de la politique est une façon trop facile de fuir ses propres responsabilités. C’est un comportement islamo-judeo-chrétien qui doit toujours trouver un bouc-émissaire, un juif pour laver nos péchés.

Non ce n’était pas mieux avant. C’était bien pire. Mais le mieux d’aujourd’hui est tellement relativisé par une parenté fainéante des plus irresponsables. Et c’est peut-être cela le sujet qui mérite un vrai debat. Chacun veut gagner de l’argent sans travailler. Et ils font des enfants sans se demander comment ils vont les nourrir.

Ceux qui vous disent que la pauvreté aujourd’hui au Cameroun n’est pas un problème d’argent, mais un problème de volonté politique, parce qu’il y aurait de l’argent à profusion, vous raconte du n’importe quoi. Parce qu’il n’y a pas d’argent. La supposée matière prémière dont la vente à l’international, pourrait nourrir tous les camerounais, n’est pas de l’argent, si on n’a pas au préalable les moyens techniques et financiers pour la transformer en argent. Et d’où viendront donc ces moyens si personne ne veut nous suivre à la plantation pour les créer ? Lorsque quelqu’un vous promet qu’il peut changer votre vie, s’il prenait le pouvoir, demandez-lui, juste où il va prendre l’argent pour y parvenir, puisque les caisses sont vides. Est-il prêt à promulguer un decret pour obliger au travail de la plantation, comme l’a fait Mao, tous les fainéants que nous sommes devenus ?

Les 40 élèves de seconde Jean Paul Pougala avait la responsabilité comme "maître d'Internat" pendant 2 ans
Les 40 élèves de seconde dont Jean Paul Pougala avait la responsabilité comme “maître d’Internat” pendant 2 ans. Crédit photo : IEG

Quelqu’un m’a demandé un jour, comment aller faire le stage à la même Coopérative Fédérée du Québec où j’ai été reçu il y a 28 ans. C’est peut-être ce qui a changé : les jeunes sont moins intelligents aujourd’hui qu’à l’époque. Il n’existait ni internet ni télévision par câble. Pour trouver une place dans une entreprise canadienne depuis l’Italie, je devais être très créatif pour trouver les noms des entreprises. Ensuite, il fallait les contacter soit par télécopie soit par télex, ce qui était très couteux. Mais j’y suis parvenu tout de même. Et aujourd’hui, parce que j’ai cité une entreprise dans un témoignage, un jeune attend tout passivement chez lui pour contacter exactement la même société que moi d’il y a 28 ans. Quelle fainéantise !!!

Non ce n’était pas mieux avant. Nous étions juste conscients du fait qu’on ne va pas mal parler de son pays à un étranger.

Lorsque je suis retourné en Italie en 1993 après 9 mois de galère dans mon pays le Cameroun, mes meilleurs amis italiens ont attendu 2007 pour découvrir dans mon livre autobiographique ce qui s’était réellement passé avec le Ministre camerounais Justin Dioro.

Pour moi, il était purement et simplement inconcevable que je raconte à mes plus proches amis italiens des choses mauvaises sur mon pays.

Encore aujourd’hui, je ne comprendrai jamais un africain qui se met en Europe pour manifester contre son propre pays en Afrique. Cela dépasse mon entendement. Parce qu’une fois que vous avez fini de détruire l’image de votre pays, c’est-à-dire, ce miroir à travers lequel vos amis étrangers vous regardent et vous respectent, par quel miracle construiront-ils une hypothétique idée de respect à votre égard ? Ce sera terminé. On ne vous verra plus que comme un pauvre parano, refusé même par son propre pays dont vous êtes le fruit.

Et ce sont tous ces paranos qui envahissent les réseaux sociaux et font croire que tout est pire aujourd’hui. Alors que de loin, les choses sont meilleures qu’à mon temps.

Non ce n’était pas mieux avant. Il y a juste trop de prophètes de mauvaises nouvelles aujourd’hui qui salissent l’image de l’Afrique sur les réseaux sociaux et donnent l’impression que tout va très mal en Afrique. Ce qui est faux bien évidement.

A peine il y a un problème dans un hôpital de Douala, il y a des camerounais qui organisent des manifestations à Paris, Washington et Londres pour soit disant dénoncer la dictature et le manque de respect des droits de l’homme.

Je n’ai pas vu ces mêmes têtes dans la manifestation de dimanche à Paris pour dénoncer les railleries des infirmières françaises du Samu au téléphone contre une africaine qui appelait pour demander de l’aide et qui a fini par mourir. Ils sont tous restés muets, ces paniers vides, (le tonneau permet au moins de ramasser de l’eau), toujours prêts à salir l’image de mon beau pays. Si cela s’était passé au Cameroun ils auraient demandé l’audience au président français Macron pour demander à la France d’intervenir militairement au Cameroun pour y apporter la démocratie et bien entendu en les mettant au pouvoir.

Non ce n’était pas mieux avant, c’est de loin beaucoup mieux aujourd’hui, car aujourd’hui, Internet donne une autre ouverture vers de multiples horizons à la jeunesse africaine que je n’avais pas à mon époque. Encore faut-il que cette jeunesse sache se retrousser les manches pour en profiter.

Je crois que ce sont les plus médiocres qui attendent les concours. Et se plaignent ensuite de nepas les avoir pas passé parce qu’il fallait payer. A mon époque il y avait les concours, mais on m’a éduqué à l’ouest du Cameroun en m’inculquant dans la tête depuis très petit que le fonctionnaire était un pauvre type. Je ne pouvais donc pas penser à faire le moindre concours. Je n’avais ni père ni mère et j’ai fait le pousseur, j’ai vendu les arachides, la canne à sucre, les ananas etc. J’ai fait le porte à porte pour proposer mes photos en couleur, j’ai édité les cartes postales. C’est avec cet argent que je suis allé en Europe continuer mes études supérieures parce qu’interdites à l’époque à ceux qui sortaient d’une serie G.

C’etait valable à l’époque, c’est valable aujourd’hui : il n’existe pas d’argent facile. Ceux qui se plaignent sont des fainéants. Les gens sont pauvres non pas à cause d’un gouvernement, ou d’un état, mais parce qu’ils dépensent l’argent qu’ils n’ont pas. Et réfusent de renoncer à certains plaisirs pourtant non vitaux.

Je suis parti de mon pays le Cameroun à 23 ans sans jamais connaître de femme, parce que j’étais convaincu qu’un pauvre ne doit pas compromettre ses chances d’avenir par des aventure amoureuses qu’il ne peut assumer, ni financièrement, encore moins émotivement.

Combien de nos jeunes aujourd’hui sont prêts à un tel sacrifice pour renoncer aux plaisirs éphémères du présent, pour privilégier et se concentrer à cultiver le bonheur de l’avenir ?

Jean-Paul Pougala
Batié le 19/05/2013
(mise à jour à Osaka le 24 Mai 2018)

Tags: CamerounPolitiquePrésidentielleReligion
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