L’artiste musicienne Guyanne s’exprime sur les conséquences du Coronavirus dans l’industrie musicale dans votre journal CHATEAUNEWS.
A la découverte de Guyanne
Artiste musicienne, Guyanne, de son vrai nom Pierrette Ninon Nguemeni Ngalieu est née à Ngaoundéré où elle a grandi. Elle fait dans plusieurs variétés à savoir : la pop musique, l’Afro-Beat, l’Afro-Pop, la Saoul, le slow, le bensikine et bien d’autres.
Pour elle, musique et messages fort évocateurs riment ensemble, elle essaie de sensibiliser et de conscientiser les jeunes à avoir un comportement responsable.
C’est dans cette optique qu’elle aborde dans ses chansons des thèmes tels que : la conscience, l’amour et l’Union.
C’est une artiste qui se démarque par son ouverture à tout le monde. Je fais de la musique depuis plus de 15 ans.
Je suis née dans la musique, j’ai les gênes de la musique et je chante donc depuis toute petite.
Quel effet a eu le Covid-19 sur vos activités ?
Je dirais que, ce virus nous a tous balancé. Il a freiné plusieurs de nos activités dans le monde entier. Du coup, ce n’est ni facile ni évident pour n’importe qui.
Ce fléau a mis un grand stop sur nous les artistes. Il nuit au monde, à la société et à la musique au même titre qu’à tous les autres grands projets dans le monde.
De ce fait, nous prions pour que cela cesse et que le monde puisse retrouver la quiétude et la paix.
Sur la relation avec les autres artistes en cette période de crise de Covid-19
On essaie de se soutenir mutuellement avec les autres musiciens.
C’est n’est pas évident d’exercer vu les circonstances sanitaires. Mais, on reste d’actualité et on garde nos rapports, nos liens avec les autres artistes et les consommateurs de la musique Camerounaise en restant toujours actifs dans les réseaux sociaux et on se soutient.
Un conseil aux jeunes qui veulent faire comme Guyanne ?
C’est vrai, ce n’est pas facile. Mais lorsque tu as de la détermination, tu y arrives toujours. La foi est très importante dans toutes les actions à mener.
Il faut garder la foi, ne pas baisser les bras, surtout ne pas se laisser entraîner par les ragots et les commérages.
Le plus important C’est d’y parvenir en allant au bout de tes efforts et d’avancer et Dieu te gardera.
Propos recueillis par Estelle Glasse Nyangono