L’icône de la musique sahélienne, Falama Dargala, dont les mélodies qui tressaient les louanges des élites de la Région se vendaient comme des petits pains dans les discothèques, laisse un grand vide dans la Culture Sahélienne.
Les mélomanes et la cour du Lamidat de Maroua où il officiait comme griot à la Cour Royale déplorent la disparition d’un monument de la culture au Sahel et l’un des gardiens de la tradition orale.