Quelles seraient les conditions qui ont conduites à un tel choix de l’Adamaoua comme sujet d’études ? C’est là l’interrogation qui traverse les esprits des habitants de la Région du Château d’eau du Cameroun, au vu de la formation pratique des 28 fonctionnaires de police et officiers Supérieurs de gendarmerie du Cameroun, du Congo, de la Côte d’Ivoire, du Mali et du Togo.
Il s’agit là de 5 pays réunis pour une formation stratégique qui relève non seulement l’image , mais aussi les domaines de sécurité et de paix.
Parallèlement, il s’agit pour les stagiaires, de passer un Master Professionnel en Relations Internationales, option Sécurité Internationale grâce au partenariat de l’EIFORCES avec l’Institut des Relations Internationales du Cameroun (IRIC).
Créée en 2008 par le Président de la République du Cameroun, S.E. Paul Biya, cette École consacrée aux Forces de Défense et de Sécurité pour maintenir la paix, serait comme une manne tombée du ciel, un centre d’excellence de la CEEA et de l’Union Africaine en matière de formation en ordre public, en opérations de maintien de la paix et en interventions professionnelles opérationnelles.
C’est donc le résultat de l’engouement soutenu des partenaires et des pays pour la formation dispensée à l’EIFORCES qu’il est un rayonnement plus évolutif et tant éclatant.
La mission prendra fin le 12 décembre 2021 après une visite à la Délégation Régionale de la Sûreté Nationale pour la Région de l’Adamaoua à Ngaoundéré et au Lamidat de Ngaoundéré, faisant ainsi montre des objectifs qui sont de faire découvrir la diversité et la richesse de la culture et des traditions Camerounaises aux hauts fonctionnaires de Police et Officiers Supérieurs de Gendarmerie Nationale.
Ceci serait-il aussi l’occasion de démontrer l’impact mais aussi le rôle de la culture et des traditions Camerounaises sur le système de sécurité et la paix ?